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Archives pour juillet 2014

GAZA, une analyse proposée par René Berthier (Fédération Anarchiste) et quand les USA arment Israel

lu sur aubanar

Ce qui se passe encore une fois à Gaza est une tragédie dont les États-Unis et l’Europe sont en grande partie responsables, par le soutien inconditionnel qu’ils apportent à la politique israélienne et par l’application du principe de deux poids deux mesures qui est fait du traitement de l’information. Lorsqu’un président exprime « la solidarité de la France face aux tirs de roquettes en provenance de Gaza », lorsqu’il « rappelle que la France condamne fermement ces agressions », lorsqu’il déclare qu’il « appartient au gouvernement israélien de prendre toutes les mesures pour protéger sa population face aux menaces [et] de prévenir l’escalade des violences », pourquoi n’évoque-t-il pas les morts des civils à Gaza ?

Graffiti antimilitariste de Banksy réalisé sur le mur de Béthléém.

Graffiti antimilitariste de Banksy réalisé sur le mur de Béthléém.

 

Le président français ne dit pas un mot sur l’enfer vécu par les familles palestiniennes, les enfants, les femmes, les civils de l’autre côté de ce qui est appelé la « barrière de sécurité » ? Sans doute considère-t-il que toute la population palestinienne, femmes et enfants compris, est constituée de « terroristes ». On passe sous silence les centaines de morts et de blessés parmi la population palestinienne, les maisons, les écoles, les coopératives agricoles détruites après le largage de 400 tonnes de bombes et de missiles durant les trois premiers jours de l’opération militaire israélienne sur la Bande Gaza.

Ce qui se passe à Gaza représente un danger permanent pour toutes les populations, un risque énorme pour la région, une injustice flagrante qui perdure depuis 1948… Pourtant, en France, les nombreuses analyses, faites par les hommes politiques ou les médias sont souvent à la fois un tissu complexe de mensonges, de propagande, de déni et d’informations erronées.

La question n’est pas le contraste entre des bandes armées et une armée suréquipée disposant de drones, de forces aériennes et navales qui bombardent un territoire où la population est l’une des plus denses au monde. La question réside dans les motivations qui poussent les responsables de ces groupes armés et ceux d’une armée suréquipée à s’affronter malgré l’énorme déséquilibre des rapports de forces. Consciente ou non, il y a une sorte de complicité entre les deux parties en présence, qui ont intérêt, pour des raisons différentes, au maintien de l’état actuel des choses : côté israélien leur politique d’expansion territoriale, d’implantation de colonies de peuplement dans les territoires palestiniens et le maintien d’un état de guerre permanent ; côté Hamas le contrôle politique et religieux sur la population de la Bande de Gaza prise en otage, et le refus de toute alliance avec les autorités palestiniennes civiles.

Une chose cependant est certaine : la violence en boucle est nourrie de part et d’autre par l’occupation. La situation est engendrée par le blocus, par l’arrêt des négociations qui n’aboutissent à rien, sinon à créer plus de misère et d’humiliation, à terroriser la population civile palestinienne, littéralement enfermée dans un territoire qui est une prison à ciel ouvert. Dans une interview qu’elle accorda à Radio Libertaire le 6 juillet 1991, Arna Mer-Khamis déclara : « il n’y a pas de pire terreur que l’occupation, et il n’y a pas de pire occupation que l’occupation israélienne. »

Aujourd’hui, Gaza permet de tester les armes nouvelles produites par l’industrie militaire israélienne en plein essor. Après chaque intervention militaire, les ventes des armes israéliennes se chiffrent en milliards de dollars. Dans les foires internationales aux armements, les armes estampillées « combat proven » (ayant subi l’épreuve du feu) se vendent beaucoup mieux.

Les négociations avec les Palestiniens n’aboutiront pas tant que les Israéliens seront motivés par la volonté d’occuper un maximum de territoires palestiniens. Les autorités israéliennes ne veulent pas de la paix. Le maintien d’un Etat de guerre permanent est, pour elles, une condition nécessaire à leur politique d’annexion territoriale. Une paix effective avec les Palestiniens serait une catastrophe car elle aurait deux effets totalement indésirables : 1. Elle mettrait fin à l’annexion de territoires palestiniens ; 2. Elle libérerait les énormes contradictions sociales de la société israélienne qui ne seraient plus comprimées par la menace de guerre.

Si les fondamentalistes religieux palestiniens sont une des causes de l’échec des négociations de paix, la cause principale de cet échec réside dans la volonté frénétique des autorités israéliennes d’annexer un maximum de territoires palestiniens et de maintenir la population palestinienne dans des espaces aussi restreints que possible.

Le fond du problème reste donc l’occupation israélienne de territoires palestiniens et la politique israélienne d’annexion permanente de territoires palestiniens. C’est pourquoi la fin de l’occupation reste un préalable pour que cesse cette violence en boucle.

 

 

AFP à 4h35 ce matin : (afp)

Les Etats-Unis ont confirmé mercredi 30 juillet avoir réapprovisionné

Israël en munitions, quelques heures après avoir fermement condamné l’attaque d’une école de

l’ONU à Gaza. L’armée israélienne avait demandé un réapprovisionnement le 20 juillet afin de

remédier à la baisse de ses stocks, a indiqué le Pentagone. Le ministère de la défense américain

a approuvé la vente trois jours plus tard, a confirmé un porte-parole.

« Les États-Unis se sont engagés à garantir la sécurité d’Israël, et il est crucial pour les intérêts

nationaux américains d’aider Israël à développer et à maintenir une capacité d’autodéfense forte

et réactive. Cette vente d’armement est cohérente avec ces objectifs. »

Une partie des munitions provient d’un stock entreposé par l’armée américaine sur le sol israélien

à l’usage de Tsahal pour les cas d’urgence, d’une valeur d’environ un milliard de dollars

(746 millions d’euros).

 

Constellations Trajectoires révolutionnaires du jeune 21è siècle par le collectif mauvaise troupe

Constellations, c’est d’abord un livre publié aux éditions de l’éclat, qui raconte par petites touches une quinzaine d’années de vie et de lutte, ce qu’on a appelé des trajectoires révolutionnaires. C’est aussi ce site, qui publie en version lyber les textes du livre. Nous souhaitons prolonger l’aventure en l’ouvrant à d’autres récits et documents, et le site accueillera bientôt une rubrique « l’histoire continue ».

la suite sur constellationsboum

Quelques news d’Europe et d’ailleurs des compagnons anars

Lur sur AAA12

Italie: Les camarades Gianluca and Adriano condamnés, à lire ici

Grèce: La répression anti-anarchiste se poursuit, à lire et ici

Ukraine : Quelques réflexions sur la révolution Ukrainienne, à lire ici

contre infos anar : Bulletin de contre-information – Juin 2014

 

Festival contre les projets miniers en Creuse à Lussat (23)

lu sur anarchie23

against mine

[Communiqué CNT-AIT/63] : de la CLE à la lutte contre l’accord du 22 mars : Soyons tout !

Communiqué du Syndicat des Travailleurs-euses et Précaires/CNT-AIT 63 sur l’actualité sociale.

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fichier pdf Soyons tout

[Toulouse] : l’antifascisme en procès

Toulouse, samedi 5 avril 2014, alors qu’un nombre ridiculement petit de manifestants du Jour de Colère se rassemble sur la place du Capitole, une contre-manifestation antifasciste s’organise. Larépression policière finira par arrêter 9 personnes (dont un mineur) indignées par la présence de néonazis. À ce jour, 8 personnes restent inquiétées par la justice pour violence aggravée et outrage à une personne dépositaire de l’autorité publique.

 

proces

 

Tribunal de Grande Instance de Toulouse, jeudi 17 juillet 2014, 7 des 8 inculpés sont jugés.

Un procès qui paraît être celui de la criminalisation de l’antifascisme et de la banalisation de l’expression publique de la haine et de la violence.

Dans la salle, nous sommes une vingtaine a être venu soutenir les inculpés.

Immédiatement, le procès prend l’allure d’une mauvaise pièce de théâtre : le président de la séance transcrit les faits avec un parti pris qui en devient dérangeant. La raison du contre-rassemblement est très vite oubliée. Il continue sur sa lancée et martèle les inculpés de deux questions récurrentes : « Qu’est-ce que vous faites au niveau professionnel ?  Qu’est-ce qui se serait passé si les CRS n’avaient pas été là ?  ». Sur scène, la représentation prend les airs d’une usine à broyer, où le jugement des inculpés se limite à leur appartenance sociale et politique et se conforme aux dires des plaignants.

[Toulouse] : l’antifascisme en procès flyinculpetoulouse-211x300L’avocat des 11 flics de la CRS 14 prend alors la parole et explique que ces messieurs ne sont pas présents car ils sont actuellement sur les plages languedociennes. Les inculpés seront donc les seuls à s’exprimer.

Sous le ton arrogant et méprisant du président, la défense essaye tant bien que mal de recontextualiser les faits : « Que se serait-il passé si le préfet n’avait pas autorisé la manifestation nazie ?  Car s’en était bien une : drapeaux d’organisations dissoutes comme l’Oeuvre Française, saluts nazis, casquette de la division Charlemagne, agressivité du service d’ordre…  »

La lourdeur de l’air l’emportera et donnera le ton au verdict : sur 7 peines, 4 sont du ferme (de 1 à 4 mois, 10 mois en tout), les 3 autres du sursis (3 et 4 mois, 11 mois en tout), sans compter une série d’amendes.

 

Nous ressortons, enfin, tou.te.s du tribunal pour un débriefing : malgré un procès impartial et arbitraire,nous ne nous laisserons pas briser par la justice…

bien au contraire, notre rage nous motive à intensifier notre lutte !

 

Source : lahorde

Le Coupe Gorge

Une petite bafouille pour parler du Coupe-Gorge, dont la dernière a eu lieu en public au Guantanamo, premier lieu libéré par la Campagne pour la Libération des Espaces. Cette émission a, toute l’année permis une parole radicale, révolutionnaire, insurrectionnelle sur les ondes. Le mieux reste la définition qu’il se donne :

 

Le Coupe-Gorge s’oppose à la pensée dépolitisée de la ville qu’impose la science urbaine.

Le Coupe-Gorge lutte contre l’hégémonie planificatrice et le monopole des faiseurs de ville. Il libère un espace où s’invente l’inconnu.

Le Coupe-Gorge c’est des gonzes en colères, quelques gadjos armés jusqu’aux dents. C’est des microphones, des stylos et il y a de l’encre à faire couler.

Le Coupe-Gorge c’est pas ce consensus mou imposé par la sacro-sainte objectivité des dominants.

Le Coupe-Gorge œuvre, avec les outils qui sont les siens, à l’insurrection permanente par l’urbain.

 

http://www.coupe-gorge.fr/

« SEUL LE DÉSIR NOUS PROJETTE VERS LE FUTUR » / UNE PROTO-HISTOIRE DU MOUVEMENT QUEER AU PORTUGAL

Dans cet article, deux rédacteurs de Mapa, journal portugais de critique sociale, se penchent sur les luttes queer à Lisbonne, de la révolution des Œillets à la politique d’austérité actuelle. Entre conservatisme religieux, orthodoxie des partis de gauche et institutionnalisation LGBT, retour sur l’histoire d’un mouvement qui s’est constitué en marge de la société portugaise.

 

« Sida, pop, répression / Qu’ai-je fait pour mériter tout cela ? »
Ratos do Porão, 1989

*Par queer1, nous désignons tout ce, toutes celles et ceux, qui, héritiers du patrimoine considérable du féminisme, de la révolte LGBT (Lesbien, gay, bisexuel et trans) et de la révolution sexuelle, sont en conflit avec les différentes formes d’oppression que sont le mariage ou l’école, le travail ou la famille. Nous définissons l’érotisme – ou la sensualité ou le désir ou la sexualité – comme tout ce qui fait appel à l’univers du toucher, du regard, et aux imaginaires qui y sont liés. En clair, nous voulons que queer soit le terme consacré pour désigner tout ce qui prête à l’érotisme une dimension politique et qu’il soit employé par celles et ceux qui appréhendent l’érotisme comme une zone de guerre anticapitaliste et contre l’État.

La suite ici : http://www.article11.info/?Seul-le-desir-nous-projette-vers#nb6

[Toulouse] : Non à l’arrêté anti-prostituées !

Le groupe de Toulouse de la Coordination des Groupes Anarchistes dénonce l’arrêté anti-racolage mis en place par la mairie de Toulouse, qui vise principalement l’activité prostitutionnelle dans les quartiers des Minimes et de Matabiau. Sous couvert de lutter contre la prostitution et de « protéger » les riverains (de quoi ?), la mairie de Toulouse se permet de donner les pleins pouvoirs aux agents de police pour surveiller, contrôler et arrêter toute personne impliquée dans l’activité prostitutionnelle (clients et prostituées). Après le projet loi de pénalisation des clients adopté par les députés, précarisant davantage les conditions d’exercice de l’activité des prostituées, c’est une nouvelle attaque en règle contre les prostituées de rue, qui se trouvent pour la plupart dans une situation économique et sociale extrêmement préoccupante. Cette pénalisation n’a pour seul effet que de pousser à la clandestinité les personnes prostituées, de les reléguer loin des contrôles policiers et donc souvent dans des zones isolées où elles sont davantage soumises à la violence des clients. De plus, elles auront un accès plus difficile aux soins et aux aides proposés par les différentes associations qui agissent auprès des prostituées.

Si la prostitution représente pour la plupart un moyen de subsistance et pour certaines une activité exercée « librement », elle est aussi un moyen concret et symbolique de soumettre l’ensemble des femmes à l’ordre sexuel dominant. Le combat contre la marchandisation des corps et de la sexualité ne peut pas se réaliser à coups de mesures répressives, tel que l’arrêté anti-prostitution à Toulouse. Seule la régularisation de tou-te-s les sans-papiers, le refus de toute autre forme de pénalisation de la prostitution, l’égalité économique et sociale pour toutes et tous permettront de lutter contre l’exploitation sexuelle sous toutes ses formes.

Lettre de Damien Camelio à la CNT-AIT de Perpignan

Camelio

13/06/2014

Salut à vous compagnon-e-s

Merci beaucoup pour le courrier et la diffusion. Bon, la prison a conservé votre lettre 3 semaines avant de la remettre. A vrai dire, je suis persuadé qu’ils ne me l’auraient jamais remise si je n’avais pas usé d’un stratagème : X m’a dit au parloir que vous m’aviez écrit, étant donné que j’ai une entière confiance en X ainsi qu’en la CNT-AIT, je savais que cette lettre était retenue (je devrais dire volée car il est complètement illégal de retenir du courrier après condamnation) par l’administration pénitentiaire. J’en ai donc parlé par téléphone avec X, me sachant écouté et la lettre m’est miraculeusement parvenue le lendemain matin, Enfin ce qu’il en reste, car comme tout mon courrier elle a subit une épuration sans que ça soit notifié ( ce qui est encore une fois et totalement illégal ).

Bon, si je commence à faire la liste de mes droits bafoués ici je n’en finirais plus, rapidement, voici quelques exemples:

- Une grande partie de mon courrier disparaît, parfois on me nargue en me montrant les lettres à la porte de la cellule sans me les remettre.

- L’accès à l’information m’est refusé (mise à part les chaînes nationales, si on peut qualifier ça d’information…).

- Je suis sous surveillance constante : l’interphone de ma cellule qui est censé servir à appeler en cas d’urgence est allumé 24 h sur 24.

- J’ai droit à des fouilles systématiques (rarement déclarées comme telles)

- J’ai subit une répression que l’on peut qualifier de torture blanche, à son apogée j’ai eu droit à 6 jours de privation de sommeil.

- La dernière chose dont je me suis rendu compte hier, j’étais étonné de ne plus recevoir d’aide financière depuis mon transfert. En fait la prison renvoie les mandats et rejette les virements.

Bon ceci est actuellement le plus gros problème : le détournement de l’argent des compas au profit de la prison est bien plus qu’ un vol, ce détournement s’inscrit dans une véritable stratégie de déstabilisation : associé à la disparition systématique d’une partie de mon courrier, la direction vient ensuite me voir pour me tenir un discours du style : « tu vois tu reçois plus rien, ils t’ont tous abandonné dehors… »

Mes soutiens étant internationaux, il m’est difficile de savoir ce qui disparaît et il est impossible à mes compas de savoir que lettres et argent ne me sont pas remis. Je voudrais rendre ceci public afin d’exprimer collectivement ma gratitude envers ceux et celles à qui je n’ai pu le faire, faute de n’avoir pas reçu leurs lettres / mandats.

Afin d’éviter le détournement de cet argent au profit de la prison (peut être bien de la direction car il faut bien que l’argent soit crédité quelque part…). Je souhaite que soit créé un compte bancaire dans le cadre d’un comité de soutien. Ce compte devra être géré par X qui est la seule personne à avoir un permis de visite et d’après les articles D422 et R57-7-33 du code de procédure pénale, l’argent que X m’envoie ne peut être refusé. De plus X à mon entière confiance. Cependant, je souhaite que des organismes reconnus tel que la CNT-AIT s’inscrivent dans cette démarche afin d’éviter toute méprise. Nous avons vu des cas de détournement avec de l’argent destiné aux compas (los 5 de barcelona), c’est pourquoi dans un souci de confiance je voudrais que la CNT appuie X dans cette démarche… A sa demande nous occultons ces quelques lignes de la lettre (CNT-AIT perpignan)…

Ami-e-s et compagnon-e-s CNTistes, je sais que vous n’êtes pas d’accord avec ce genre de mode opératoire, cependant je sais que vous êtes conscients de ce que nous organes de lutte clandestine subissons comme répression et à quel type de violence nous avons à faire face. Les petits cons du GAL (créé par l’Espagne afin de faire assassiner les Etarras) m’ont déjà tiré dessus avec une arme à feu. Avec le processus de paix relatif à ETA, la répression sanglante qu’ils subissaient est peu à peu en train de se diriger contre nous Anarchistes.

Nous sommes bien entendu pacifistes, la militarisation que nous avons initié a été une nécessite auto défensive face à des ennemis qui eux sont déjà largement armés et qui de plus profitent d’une considération bienveillante de la part des États ( dans le cas de l’État espagnol rien n’est plus à démontrer )… L’État français, lui, qui cultive une image de façade plus libérale est en fin de compte tout aussi répressif et pour le moins collaborationniste. J’ai lu attentivement tout ce que vous m’avez fait parvenir (enfin la partie qui m’a été remise)…

Je vais bien entendu écrire au comité de soutien à Enguerrand et je souhaiterais avoir son adresse exacte.

Je voudrais que vous me fassiez parvenir les adresses des 3 anarchistes de Vigo arrêtés peu avant moi ainsi que celle de Jorge Mario Gonzalès au Mexique…

Voilà, je voudrais aussi qu’un compa Cénétiste vienne me voir au parloir afin que je puisse m’exprimer.

Un énorme MERCI à vous tous, un FUERTE ABRAZO, je vous envoie toute ma force militante, tout mon amour et toutes mes espérances libertaires.

Damien

Ps :

Merci d’écrire -Prisonnier Anarchiste- sur mon adresse, l’affirmation du caractère politique d’une incarcération, c’est la reconnaissance d’une lutte.

PS2 :

Vous pouvez rendre public tout ce qui vous semble utile dans ma correspondance.

Note de la CNT-AIT de Perpignan : nous avons publié l’intégralité de la lettre reçue par notre syndicat hormis une partie à la demande de Damien et deux courts paragraphes que nous n’avons pas jugé utile de rendre public. Lettre reçue le 20 Juin2014 à Perpignan.


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