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Archives pour septembre 2015

Boxe populaire à Clermont Ferrand : tous les jeudi 18h 20h !

boxe

[De la bouffe et des bombes] : Bouffe gratos infokiosquée aux puces le 4 octobre à Clermont Fd

[reçu par mail] 

Dimanche 4 octobre à partir de 11h place des Salins (Cl.-Fd), on se remet sur le même mode que fin août : rencontre, bouffe gratuite vegan, infokiosque, …

On s’occupe du repas, viens manger et discuter !

bouffe infokiosquée

Réunion du collectif anarchistes solidaire du Rojava

lu sur ParisLuttesInfos

Publié le 29 septembre 2015

Le collectif « anarchistes solidaires du Rojava » s’est formé il y a près d’un an, lors de l’attaque de Kobane par Daesh. Il appelle aujourd’hui à une réunion ouverte.

Le collectif « anarchistes solidaires du Rojava » s’est formé il y a près d’un an, lors de l’attaque de Kobane par Daesh. Ses buts principaux sont de diffuser les informations sur la situation révolutionnaire au Rojava (Kurdistan syrien), apporter un soutien concret, et permettre une apparition anarchiste spécifique sur cette question.

Depuis lors nous avons organisé des cortèges anarchistes dans chacune des manifestations de soutien, développé des liens avec nos interlocuteurs kurdes à Paris, participé à des actions, organisé des réunions d’informations et de discussion sur le sujet. Nous avons aussi levé des fonds, et des camarades observateurs ont été envoyés sur place.
Le collectif se compose de militants anarchistes, libertaires et anti-autoritaires, réunis pour apporter leur soutien à la révolution actuellement en cours au Rojava, et pour aider dans la mesure du possible les populations menacées par les forces réactionnaires, que ce soit Daesh, les pays frontaliers ou les forces de la coalition. Nous nous opposons à toute forme de colonialisme et d’impérialisme et affirmons notre soutien aux luttes d’émancipation allants dans le sens d’une plus grande autonomie pour les populations.

Nous sommes solidaires de l’expérience d’auto-organisation qui a lieu actuellement au Rojava, avec le soutien et sous la protection du PYD et de ses structures d’autodéfense (YPG/YPJ), qui sont pour nous les principales forces progressistes de la région. Aujourd’hui, les derniers événements en Turquie nous rendent également solidaires du peuple kurde et plus globalement des minorités nationales et des militants turques face à la répression d’Etat qui s’abat sur eux/elles.

Après avoir organiser un soutien dans l’urgence de la bataille pour défendre Kobane, nous nous posons aujourd’hui la question de comment mener un soutien à long terme qui permettrait le développement du projet politique au Rojava et en Turquie. C’est autour d’un projet a mener dans la reconstruction de la région de Kobane que nous l’envisageons, et nous voudrions entamer une réflexion collective et l’ouvrir à tous les anarchistes, libertaires ou anti-autoritaires intéressés par le Rojava et l’organisation d’un soutien concret sur la durée à cette révolution. Une réunion ouverte se tiendra le Lundi 05 Octobre 2015, à Publico (11 Rue Amelot, Paris 11ème), elle commencera à 19h30.

Le collectif.

FIN DE VIE AU PARLEMENT : SOYONS LOGIQUES!

Capture d’écran 2015-09-25 à 01.23.38

Source: lignesdeforce, le blog de Claude Guillon

[Athènes-Contre SYRIZA, Contre toute autorité]: Solidarité avec les compagnon-ne-s arrêté-es (et torturé-es) suite à l’attaque du comico d’Exarcheia

Le 17 septembre, des compagnon-ne-s appellent à une manifestation anti-étatique, antifasciste, anticapitaliste à l’occasion de la commémoration de l’assassinat de Pavlos Fyssah. Assez tôt, les flics encerclent le rassemblement. La manifestation se dirige vers le commissariat d’Exarcheia qu’elle attaque. Des affrontements de rue s’ensuivent dans les rues d’Exarcheia. Lors de ceux-ci, les flics arrêtent 9 compagnon-ne-s (dont 5 mineurs). L’Etat, les patrons et leurs serviteurs en uniformes montrent leur véritable visage. Bras cassés, dents cassées, coups sur tout le corps, yeux au beurre noir, doigts de pied cassés, voilà les pratiques de la démocratie face aux compagnon-ne-s anarchistes. La plupart des arrêtés sont chargés avec des accusations à caractère criminel [1].

 

Indépendamment du fait que si quelques uns d’entre-nous ne sont pas d’accord avec le déroulement de la manifestation (son organisation ou son cadre), nous savons que toutes ces tactiques de tortures contre des compagnons et d’accusations lourdes s’inscrivent dans la répression que déchaîne l’Etat contre les compagnon-ne-s anarchistes. Qui peut en outre oublier la décision vengeresse de rejeter la demande de permissions à fin éducative à l’anarchiste Nikos Romanos et la décision tout aussi vengeresse de rejeter la demande de remise en liberté d’Evi Statiri. Décisions qui vont à l’encontre des lois qu’eux-mêmes ont adopté. Ils trouveront notre solidarité face à leur répression.

LA SOLIDARITÉ EST NOTRE ARME
AUCUN COMPAGNON-NE SEUL DANS LES MAINS DE L’ETAT
SOUTIEN AVEC TOUS LES MOYENS POUR LES ARRÊTÉS DU 17 SEPTEMBRE

Groupe de lycéens anarchistes – Attaque anti-éducative.

[Traduit du grec par nos soins du site du groupe.]

Notes

[1] Ndt :P lus en détail les accusations sont : utilisation d’explosif (crime), tentative de coups et blessures graves, port d’arme (pierres), trouble à l’ordre public, dommages à la propriété privée, outrage et rébellion.
Lors de la comparution immédiate du vendredi 18 septembre, 4 personnes ont été relâchées (en attente de leur procès) et 5 continuent d’être emprisonnées au quartier général de la police d’Attique. Le 21 septembre, les 2 mineurs encore emprisonnés ont été relâchés sous condition et en attente de leur procès (ils doivent pointer tous les 15 jours au commissariat). Les 3 derniers inculpés doivent passer le 22 septembre devant le procureur qui décidera de leur remise en liberté ou de la poursuite de leur détention préventive.

Source: nonfides

Henri Laborit résumé en 16 secondes

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Infos CNT-AIT/63 et….. 03

CLERMONT FERRAND (63)
Nous tenons une permanence tous les samedi à notre local de 16h à 19h (+ d’infos cntait63@gmail.com) avec accès à une bibliothèque sociale à emprunt gratuit.
Des allocataires du RSA continuent de venir nous rencontrer afin de les défendre face aux équipes pluridisciplinaires (demandez-nous notre kit d’auto-défense à pole-emploi).

Nous distribuons les numéros de L’Envolée L’Envolée, journal pour en finir avec toutes les prisons.

IL EST DISPONIBLE (2€) à LA CNT-AIT/63 (2 place Poly, 63100 Clermont Ferrand ou cntait63@gmail.com), l’argent est intégralement pour les détenus merci pour votre soutien.

Nos brochures (kit auto-défense pole emploi, autonomie énergétique, parfums de révolution…) sont disponibles auprès de l’UL CNT-AIT de Clermont, Thiers (et du Bourbonnais ;-) ) sur demandes cntait63@gmail.com.
les commandes de café zapatiste vont bientôt arriver
THIERS (63)
Le syndicat de Thiers crée depuis 3 mois est en pleine dynamique. Un WE d’atelier anarcho-syndicaliste a déjà été réalisé en juillet. Et déjà une lutte autonome victorieuse à son actif dans une association, + d’infos cntait63@gmail.com, écrire vos emails à l’attention de Ben.
BOURBONNAIS (03)
Après Thiers cette année, nous sommes heureux de vous annoncer la création de l’initiative anarcho-syndicaliste dans le 03, pour tout contact, cntait03@riseup.net
A VENIR entre autres

NI ETAT, NI PATRON, AUTOGESTION

 
Des nanarko-syndicalistes de la CNT-AIT/63

FUCKNIVAL n°10 (Désertines-03) les 9-10 octobre

Avec notamment les copains de Loukanikos, GoFast……….

AFFICHE-FUCKNIVAL

 

Coopérative intégrale catalane : Nous pouvons vivre sans capitalisme

Coopérative intégrale catalane
 
Nous pouvons vivre sans capitalisme
 
Jeudi 27 Août 2015
 
Ils fraudent le fisc pour financer la révolution. Avec un budget de quatre cent quatre-vingt-dix mille euros, la Coopérative Intégrale Catalane (CIC) tente de construire ses propres « services publics coopératifs » dans le domaine de la santé, du logement, du transport ou encore de l’éducation. Leur but, se passer de l’euro, de l’état et des banques.
 
Au pied de la Sagrada Familia, des cars venant du monde entier déversent chaque jour des marées de touristes qui rendent laborieuse la progression sur les trottoirs.
 
Tous veulent leur selfie avec en arrière-plan l’Objet Volant Non Identifié (OVNI) architectural d’Antoni Gaudi.
 
Deux pâtés d’immeubles en contrebas, au numéro deux cent soixante-trois de la rue Sardenya, se niche une autre curiosité, mais elle n’apparaît sur aucun guide touristique.
 
L’immeuble baptisé Aurea Social a tous les attributs du siège d’une entreprise de service prospère. Pourtant, c’est un squat. Sûrement le plus luxueux de Barcelone qui compte pourtant une soixantaine de centres sociaux autogérés comme celui-ci. Quand on s’approche de l’entrée, la porte automatique s’ouvre sur le guichet en bois verni de la réception. Dans ce dédale de bureaux et de couloirs, des groupes de personnes s’affairent, en réunion ou le visage rivé sur leur ordinateur pendant que d’autres font du yoga ou cultivent des plantes médicinales interdites sur l’immense toit-terrasse avec vue sur le haut de la Sagrada Familia. Quand on rentre dans les toilettes, les lumières s’allument sans que l’on ait besoin d’appuyer sur l’interrupteur. On peut régler le système de ventilation de chaque pièce avec une télécommande.
 
Mais le faste du bâtiment n’est pas la seule chose qui le distingue des lieux alternatifs barcelonais. Aurea Social abrite aussi le quartier général de la CIC. Ce mastodonte de l’alternative créé en 2010 compte plus de deux mille membres et dispose cette année d’un budget de quatre cent quatre-vingt-dix mille euros dédié à la construction d’un nouveau monde.
 
Ces activistes ne demandent pas de meilleures retraites, l’instauration d’une taxe carbone ou la séparation entre banques de dépôt et banques d’investissement. Ils ne demandent rien. Et pour cause. « Nous rejetons l’état comme système de contrôle basé sur l’exploitation de l’être humain », expliquent-t-il dans l’appel à la révolution intégrale qui leur sert de manifeste officieux.
 
La CIC s’est donné pour logo une fleur multicolore inspirée de la permaculture. Chaque pétale représente une commission et un secteur de la vie, santé, éducation, logement, alimentation, transport et technologie, que la coopérative tente d’extraire des griffes du capitalisme et de l’état pour les remettre dans les mains de ses utilisateurs. Ils veulent créer leur propres « services publics coopératifs » gérés par leurs usagers. Exit les politiciens professionnels, les personnes décident de ce qui les concerne lors d’assemblées quinzomadaires ouvertes à tous. Leur but, se passer progressivement de l’euro, de l’état et des banques et prouver que « nous pouvons vivre sans capitalisme ».
 
Un rêve d’adolescents immatures, peut-être, toujours est-il qu’ils n’attendent pas le grand soir pour commencer à le réaliser. En quatre ans, ils ont financé ou facilité la création de deux logements sociaux coopératifs, d’une école libre, de deux ateliers de machines-outils collectivisées, d’un centre de santé, d’une colonie éco-industrielle qui travaille sur la souveraineté technologique et d’une banque autogérée sans intérêts.
 
La coopérative a également popularisé des techniques et des machines pour rouler en utilisant le moins possible de pétrole et dynamisé une monnaie parallèle utilisée par deux mille personnes mais aussi un atelier de transformation de produits écologiques, des greniers alimentaires et une centrale de distribution de nourriture biologique couvrant toute la Catalogne.
 
La CIC a aussi permis à une dizaine de communautés de trouver des terres pour s’installer en zone rurale et aide les personnes sur le point de se faire expulser de leur logement à le garder ou à en trouver un autre.
 
Pour faire tourner cette grosse machine, la CIC verse des « assignations », sorte d’argent de poche pour activistes, à environ soixante-dix personnes qui touchent entre deux cent et neuf cent euros par mois, en fonction de leurs besoins. Pour financer ses activités, elle ne demande évidemment pas de subventions. En fait, elle se sert elle-même dans les caisses de l’état via l’insoumission fiscale.
 
L’insoumission fiscale, pour comprendre, je m’éloigne de Barcelone et emprunte les routes ridiculement étroites qui mènent vers un fournil coopératif dans le nord-ouest de la Catalogne.
 
Angel m’accueille avec un sourire et referme rapidement la porte derrière moi afin de ne pas perdre la chaleur du four. Ce trentenaire aux allures de gendre idéal est boulanger autodidacte, mais il est aussi hors la loi. Sa coopérative tourne bien, pourtant elle ne verse pas un sou au fisc espagnol. D’ailleurs, aux yeux de l’état, l’entreprise n’existe pas. Angel et ses cinq collaborateurs se répartissent les revenus de leur activité sans que l’administration ne voie la couleur d’un euro.
 
Comment cela est-il possible ? Il est membre de Libertanonima, nom modifié pour ne pas faciliter le travail du fisc, une coopérative créée par la CIC qui sert de parapluie juridique à des petits artisans et commerçants, les dispensant ainsi de créer leur entreprise. Elle propose à ses « socios auto ocupados », membres auto entrepreneurs, un service comptable et administratif mutualisé et sert d’interface entre eux et l’état. En échange de ces services, les membres paient une participation à la coopérative proportionnelle à leurs recettes et lui versent la Taxe sur la Valeur Ajoutée (TVA) qu’ils auraient dû payer à l’état. Dans le cas d’Angel, un peu plus de mille euros par an, une somme largement inférieure aux charges qu’il aurait dû payer s’il avait monté une entreprise classique.
 
« Aux yeux de la loi, nous sommes des coopérateurs bénévoles de la coopérative », m’explique-t-il en me montrant l’attestation fournie par Libertanonima qu’il garde dans un tiroir en cas de contrôle. « C’est comme si nous étions un groupe de cyclistes, que nous avions un local et que nous travaillions dessus ensemble ».
 
Sauf qu’ici, les cyclistes sont boulangers et tirent un revenu de leur activité. « Ce n’est pas illégal, ce n’est pas légal », précise-t-il. « Nous jonglons avec la loi ». D’ailleurs il parle de sa situation avec détachement et ne requiert pas l’anonymat. Et si jamais les enquêteurs du fisc décident de le contrôler, il les renvoie vers le siège de Libertanonima.
 
La banquière devenue révolutionnaire
 
Ils seront reçus à Aurea Social par Angels, une ancienne banquière qui a décidé de rejoindre les rangs révolutionnaires. Dans son bureau aux parois de verre, cette femme au chignon sévère et aux cheveux grisonnants les attend de pied ferme. « Ils sont déjà venus deux fois et n’ont rien trouvé à redire, nous jouons au chat et à la souris avec l’état. Et pour l’instant, la souris gagne », dit-elle avec un sourire satisfait, tout en s’affaissant sur le dossier flexible de son siège. Angels fait partie des soixante-dix personnes qui touchent des assignations. Pour m’expliquer le complexe montage juridique qui leur a jusqu’à présent permis de passer outre la vigilance du fisc, elle saisit un crayon et une feuille et se met à dessiner.
 
L’astuce est la suivante, Libertanonima demande à ses membres de faire passer leurs factures personnelles pour des frais professionnels, ce faisant la coopérative équilibre artificiellement sa balance de TVA. Elle verse donc à l’état une somme dérisoire et réinjecte le reste dans son réseau militant. La CIC a créé plusieurs coopératives comme Libertanonima afin de noyer le poisson et de limiter les risques. Ils font en effet attention à ne jamais excéder les cent vingt mille euros de fraude potentielle, afin de ne pas encourir de poursuites pénales. Quand une coopérative s’approche du chiffre fatidique, une nouvelle entité est créée.
 
De la fraude fiscale à des fins sociales
 
A la tête de ces « parapluies juridiques », cinq personnes, pour la plupart insolvables, sont prêtes à assumer les risques judiciaires. Piquete est l’une d’entre elles.
 
Quand il ne chante pas des chansons révolutionnaires, ce cinquantenaire aux allures de rocker qui affiche son engagement anarchiste sur son T-shirt prend part à la commission juridique de la CIC. Volubile, il est adepte de la « désobéissance civile et économique » et prend son rôle très au sérieux. « En 1936, il y a eu une révolution libertaire ici en Catalogne. Des milliers d’entreprises ont été collectivisées et nous avons fonctionné sans chef pendant trois ans. Mais pour rendre cela possible, il a fallu des décennies de préparation morale et culturelle. C’est ce que nous essayons de faire avec la CIC, nous créons des outils pour faciliter la transition. Nous préparons la révolution tout en la faisant ».
 
Et leurs outils ne s’adressent pas qu’aux militants professionnels. Restaurateurs, maraîchers, bijoutiers, bûcherons, brasseurs, graphistes, documentaristes et éditeurs, ils sont près de sept cent artistes, artisans ou petits commerçants, seuls ou en mini collectifs de travail, à utiliser le statut de « socio auto ocupado ». Mais la CIC n’a rien inventé. Nombre d’entreprises capitalistes font également de l’optimisation fiscale afin de se soustraire à l’impôt. Sauf qu’ici, les gains sont distribués de manière collective à des projets sociaux, de la fraude fiscale en bande organisée, oui, mais à des fins révolutionnaires.

[Contre SYRIZA, Contre toute autorité] : Des anarchistes attaquent le comico d’Exárcheia et ses flics

Plusieurs jours avant les élections (anticipées), les anarchistes multiplient rassemblements et manifs anti-électorales. Un rassemblement était appelé jeudi soir à Exarchia contre toute la merde que représente Syriza et en mémoire de l’antifasciste Pavlos assassiné il y a deux ans à Athènes. Il y a aussi eu pas mal d’actions en solidarité avec la compagnonne Evi Statiri, arrêtée le 2 mars dernier et accusée d’avoir voulu faire évader des prisonniers des CCF.

 

Des barricades ont été montées au niveau du centre social ‘Vox’, où les unités policières du MAT ont été bloquées et attaquées avec des cocktails molotov et des pierres. A la suite de l’attaque du poste de police, les affrontements qui ont suivi ont laissé trois flics à moto ‘Delta’ blessés, dont l’un d’eux a du être admis à l’hôpital militaire. 9 assaillants ont été arrêtés.

[Repris du Chat Noir Emeutier.]


Des anarchistes attaquent la police à Athènes

ATHÈNES, Grèce – Des anarchistes grecs ont attaqué la police avec des cocktails Molotov à l’extérieur d’un commissariat du centre d’Athènes, jeudi, et un policier a été blessé dans les affrontements qui ont suivi, ont indiqué les forces de l’ordre.

Environ 150 jeunes anarchistes ont participé à l’attaque tard jeudi soir, selon la police. Environ 20 cocktails Molotov ont été lancés sur les policiers à l’extérieur du poste, et les policiers ont répliqué avec des grenades assourdissantes et des gaz lacrymogènes, d’après les autorités.

Sept personnes soupçonnées d’avoir participé à l’attaque ont été arrêtées. Un véhicule garé près du commissariat de police a été endommagé.

Ce poste de police, situé dans le quartier d’Exarcheia, dans le centre de la capitale, est fréquemment pris pour cible par des militants anarchistes.

Dépêche Associated Press via métro, 17/09/2015}.

[Contre SYRIZA, Contre toute autorité] : Des anarchistes attaquent le comico d’Exárcheia et ses flics 153321-0264e153322-36bf9153323-67e74153324-596a4153325-f50c1153326-efc7a153327-5562d11999878_10205237439159473_1900000464_n-a9b8412025580_10205237433159323_647089006_n-4cf6f12032394_10205237325196624_1903372816_n-f5813

Une vidéo de la presse poubelle grecque -The Indicator (sic !)- est visible ici.

Source: non fides


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