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Archives pour octobre 2015

21-11-15 : La Makhnovchtchina fait son « Pesstacle » (Montluçon)

La Makhnovchtchina fait son "Pesstacle"

lu sur http://www.regardactu.com/2015/10/la-makhnovchtchina-fait-son-pesstacle.html

Je ne sais pas vous, mais moi, j’attends ce moment avec impatience ! L’évocation des luttes ouvrières, c’est toujours un moment de frissons pour les militants sincères et désintéressés. Et nous sommes nombreux dans ce cas, j’en suis certain. Et puis, quand en plus on m’annonce que ce sont des comédiens, musicos et syndicalistes eux-mêmes qui vont donner le spectacle, franchement, je suis emballé. C’est pourquoi, je ne veux surtout pas manquer ce moment de convivialité qu’à l’avance, j’imagine magique.

Le groupe a d’ailleurs choisi un nom « la Makhnovchtchina » qui fait rêver tous les militants libertaires. Cette grande révolte des paysans ukrainiens, dont Nestor makhno fut l’âme révolutionnaire, a en effet beaucoup marqué les esprits parmi les militants syndicaux qui se réclament de l’anarcho-syndicalisme. Mais, c’est une autre histoire que nous visiterons peut-être un jour.

retenez cette date : Samedi 21 novembre à 17h, Salle Robert Lebourd, rue de la Presle à Montluçon (à côté du parking du Crédit agricole.

En attendant, je vous invite à consulter le programme que nous ont concocté les artistes, musiciens, militants de la « Makhnovchtchina »

La Makhnovchtchina fait son "Pesstacle"

La « Makhnovchtchina » fait son « Pesstacle » le 21/11/2015 à 17H00 Salle Robert Lebourg ayant pour thème :

« A la Grève !!! »

* La révolte des Canuts….
* Une guillotine à Buzançais…
* Des bassins miniers qui s’embrasent…

Ce sont quelques thèmes que nous aborderons pendant ce « Pesstacle » consacré aux révoltes du monde ouvrier.

Qui sommes nous ?

4 mauvais garçons ayant ou ayant eu des activités syndicales ou politiques. 2 passions nous animent : la vie sociale et la musique. Nous avons décidé de réunir les 2 dans un « Pesstacle »

C’est quoi un Pesstacle ?

C’est tout sauf un truc ennuyeux (en tout cas, nous l’espérons !!!). C’est une histoire que nous vous racontons, souvent liée à la société et son fonctionnement. Nous entrecoupons cette histoire de chansons qui sont soit de notre composition, soit de chanteurs « engagés ». Le but n’est pas de faire un cours magistral, mais juste de vous donner des éléments sur un sujet…. Libre à vous après de l’approfondir (médiathèque, internet…)… ou pas !!! Un « Pesstacle » dure approximativement 1 heure. Et après, la tradition veut que nous nous retrouvions toutes et tous autour d’un verre offert par notre groupe. N’hésitez pas à inviter vos proches….Entrée gratuite….. Sortie aussi !!!

Pour nous contacter : makno03@gmail.com

Pour nous suivre :http://makhno.blog.free.fr/?

[Paris] : solidarité avec la compagnonne Lucile, incarcérée à Fleury pour insoumission

Hier, mercredi 21 octobre, s’est tenue une audience de demande de mise en liberté pour la compagnonne incarcérée à Fleury pour outrage, rébellion, et refus d’empreintes depuis le 15 octobre. Extraite de sa geôle pour l’occasion (pour passer devant le juge pas pour gambader dans la bruyère il s’entend) la compagnonne a acceuilli avec sourire la présence de nombreuses personnes solidaires. Les flics, assez nombreux, se sont également montrés visibles.
La cour a rejeté sa demande

Pour lui écrire :
CHAPUIS Lucile
n° d’écrou : 423606S
Maison d’arrêt des Femmes de Fleury-Mérogis
7 avenue des peupliers
91705 Sainte Genieviève des bois CEDEX

Contact des soutiens : 12octobre_AT_riseup.net

source: cettesemaine

 

Smellington Piff: Site [Notice of Eviction]

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I’ve been raised in the muck since I was a ickle pup
In double decker buses caravans and trucks
With dreadlocked hippies and pissed off punks
Located where it stinks of the pungent skunk
I never went school I coched and smoked bongs
Hot box my home like I set off a smoke bomb
I’m never living in them council flats
I’m never giving them no council tax
All I need is weed wood food and gas
A roof above my head and a bed to crash
If you lock me out bolt croppers chop the locks off
Chat shit my big brothers will knock your block off
The cheapskates and their second hand knockoffs
Arrive in a convoy two miles long you can’t stop us
Call the coppers I know my rights
Got to take us to court so we’re here for the night

We’re coming from a place called site
We live in wagons trucks buses and caravans
I’m living in a place called site
We drive in clapped out bangers and camper vans

Chased by the pigs and hated by the masses
This is how we live robbing skips and dodging taxes
Classed beneath the lowest classes
No cash flow growing outdoor plants and pressing hashes
Conflicting with gobby rednecks and snobby fascists
To ever get us off your premises you better bring a bulldozer
Never stopping the coppers want us to pull over
In the van with the lads nabbing a new roamer supreme
Covered in chrome and cream she tows like a dream
Passing though your town like a stream
If homes where the heart is I live on my sleeve
I represent where I’m from and speak for what I believe
For starters I’ll have your guts for garters
If you ever mess with my extended family
But hate breeds hate and I’m just trying to love
Rest in peace to my friends in the heavens above

We’re coming from a place called site
We live in wagons trucks buses and caravans
I’m living in a place called site
We drive in clapped out bangers and camper vans

I was raised on site where the piss heads fight
The dogs bark and bite it gets dark at night
So spark a light

Moirans/Aiton (Isère/Savoie) : mutinerie & émeute coordonnées des deux côtés du mur

Infos et photos ici : http://cettesemaine.info/breves/spip.php?article1244&lang=fr

 

 

[Concert] : Pour le passage à l’Heure d’Hiver, le 26/10 à l’Hôtel des Vil-es

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Nique la « race » ! Ou comment éclatent les frontières entre l’extrême-droite et l’extrême-gauche du pouvoir

Le 31 octobre à Paris, a lieu la « marche pour la dignité et contre le racisme », organisée et signée par un certain nombre de groupes et d’individus pour le moins ambigus sur leurs rapports avec l’extrême-droite ou l’Islamisme politique et la récupération (mutuelle) de leurs idées, elle marque l’avancée d’une mystification grossière et de plus en plus courante, qui ne peut fleurir que sur le vide et l’ignorance qui caractérisent cette époque décomposée. Parfois il n’y a pas d’ambiguïté, comme par exemple avec Tariq Ramadan (et ses Frères Musulmans), maître du double langage et partisan d’un « moratoire » sur la lapidation des femmes. On nous parle de « races » et d’anti-racisme dans les mêmes phrases, un boulevard ouvert au XIXe siècle par certains courants racialistes et colonialistes de gauche, et arpenté depuis quelques années par Dieudonné, Soral et leurs (ex-)amis des Indigènes de la République, avec l’appui de quelques « antifascistes » perdus, et d’investissements divers des actionnaires internationaux de la réaction. Vous allez marcher aux cotés d’un mouvement (le PIR) qui appelle, comme le parti nazi à une autre époque, à la « lutte des races », un concept remis à l’ordre du jour pas des universitaires qui font leurs carrières dans le sillon du philosophe des ayatollah, Michel Foucault, ou du darwiniste social Ludwig Gumplowicz (der Rassenkampf).

 

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Paris : 112 heures de garde à vue et 6 semaines de préventive pour deux compagnon-ne-s

Paris : 112 heures de garde à vue et 6 semaines de préventive pour deux compagnon-ne-s arton4737-75ca5

Dimanche 12 octobre 2015, à Bagnolet, deux compagno·ne·s se font alpaguer par une voiture de keufs sérigraphiée sans que l’on ne sache les raisons qu’ils se sont imaginés. Sur-excités, les flics ne supportant pas qu’on puisse les ignorer, tentent un contrôle d’identité. Pas de résignation, les flics utilisent la force et les emmènent au commissariat, passage à Bobigny devant l’OPJ de nuit puis retour à Bagnolet. Garde à vue sous le prétexte d’outrage et rébellion.

 

Après 48 heures de garde à vue, transfert vers le dépôt du TGI de Boboch’. L’équipe de transport de keufs va intimider et mettre leurs menaces a exécution. Dans la voiture quand ils sont plus nombreux, planqués, que les copin·e·s sont menottées et la flicaille armée, les insultes pleuvent, la copine est étranglée avec la ceinture, des coups sont portés. Les flics arriveront a gratter quelques jours d’ITT, et les copin·e·s entreront au dépôt après 4h à l’hôpital avec blessure au nez, contusions à la pelle et 8 points de sutures sur le crâne.

Après 20 heures de dépôt, comparution immédiate. Levez-vous ! Tenez-vous droit ! Ne vous tenez pas la main. La juge, avachie qu’elle était, monopolise la parole, raconte sa vie, évoquant son passé de sale prof. Personne n’est intéressé, les compagnon·ne·s cherchent à en placer une. Elle n’accepte pas qu’on ose parler sans demander la parole, ou qu’ielles refusent de répondre à ses questions intrusives. « Heureusement que tout le monde n’est pas comme vous » , assène la juge, marquant ainsi les difficultés que lui pose le refus de collaborer des compagno·ne·s. Au cours de l’audience, qui n’a pas porté sur le fond mais sur les conditions du report*, la juge reconnaît que le dossier est vide, mais désire tout de même punir. La lecture des chefs d’inculpation montre la mauvaise foi des flics ; les compagnon·ne·es ne sauraient comparer le boulot des putes au sale boulot de flic. Doutant de l’identité des accusé·e·s, l’un refusant de donner son nom, l’autre n’ayant pas de papiers d’identité, et sous prétexte de non-réponse à ses questions la juge refuse de regarder les garanties de représentation, balaie les certificats médicaux et renvoie l’affaire au 25 novembre,envoyant en détention préventive à Fleury l’une des accusé·e·s. L’autre, « X », suite à un vice de procédure (les vingt heures maximales censées séparer la fin de la garde à vue et la présentation devant un magistrat), est libéré par la juge, qui expliquera que « cela montre que la justice est juste ». En vrai, les flics en ont décidé autrement et dans un moment de pagaille dans la salle d’audience, les personnes présentes apprennent par les accusé·e·s que les flics vont ré-arrêter le copain à sa sortie. La juge décide d’évacuer une partie de la salle, qui se fait entendre en protestant contre la justice, la juge et les flics. Ça n’a donc pas manqué, à peine passé le portail les flics kidnappent « X » une nouvelle fois, rebelote 48 heures de GAV au commissariat de Bagnolet.

Dehors, il est très difficile d’avoir des informations sur le gardé à vue, (qui malgré ses demandes de voir un avocat n’y aura pas accès) et, après un tour infructueux des commissariats du 93, un rassemblement est appelé le soir-même devant le commissariat de Bagnolet, où les deux copin·e·s avaient été emmené·e·s initialement. Une flopée de flics l’attendait, ils déboulent gazeuse à la main et contrôlent les 20 personnes présentes sous prétexte de vigipirate à quelque mètres du commissariat. Le sale commissaire vient annoncer au groupe que « X » est bien en garde à vue au comico et que si l’on veut s’en plaindre, il y a des formulaires. Le rassemblement aura permis d’avoir une info « officielle », et les flics ont été bien forcés de constater que « X » n’était pas isolé. Le lendemain, à 16 heures, un autre rassemblement est organisé. Encore une fois, le dispositif policier est ostensiblement disproportionné, civils, renseignements, équipe d’intervention font face à une dizaine de personnes solidaires. Le commissaire de jour dira que « X » va être déféré dans la soirée et passer en comparution immédiate le lendemain. En réalité, il sera juste emmené au commissariat des Lilas pour la nuit, où il croisera les flics, soi-disant blessé·e·s, se pavanant toujours dans leurs dégueulasses fonctions, les keufs craignant du bordel à Bagnolet.

Le lendemain, à 13 heures au tribunal, ni les renseignements généraux, ni les flics du tribunal, ni le procureur, ni la greffière, ni les avocats ne veulent dire où se trouve le copain. Grâce à quelques indiscrétions, on apprend qu’il ne sera pas jugé aujourd’hui, et qu’il pourrait sortir avec une convocation dans l’après midi. La quarantaine de personnes solidaires se rend au commissariat de Bagnolet, d’où « X » sortira après 112 heures aux mains des flics avec deux convocations « sous X » pour deux procès. Le premier pour outrage, résistance violente et refus de se soumettre à des relevés signalétiques, le 25 novembre, à la même audience que la copine, alors même qu’il en a été sorti pour vice de procédure, et un second, pour avoir commis des violences sur trois dépositaires de la force publique, le 25 janvier 2016.

Les flics et la justice essaient de briser les individus qui n’acceptent pas leur autorité, qui sabotent leur travail en refusant de donner les informations qui permettent a cette machine de fonctionner.

Parce que chaque contrôle est une intrusion insupportable, que chaque jugement est inique, nombreuses sont celles et ceux qui se rebellent au quotidien contre la police et la justice. Pour se montrer solidaire, diffusons ces histoires, organisons-nous pour briser l’isolement que la répression appelle, sabotons les rouages de la machine judiciaire et policière et attaquons tout ce qui rend possible le contrôle, la prison, la répression et son monde.

Liberté pour toutes et tous !

contact : 12octobre@riseup.net

(reçu par mail)

Du contrôle d’identité à la taule… Solidarité !

Aujourd’hui, 14 octobre 2015 deux compagnon-nes passaient en comparution immédiate pour outrage et rébellion après deux jours de garde à vue et 20 heures de dépôt.

Œil au beurre noir, boitant, avec de nombreux points de suture mais combati-ve-fs illes ne se sont pas prêté-es au jeu que la juge voulait leur imposer. En conséquence cette dernière a refusé de regarder les garanties de représentation fournies par des ami-es présent-es et envoyé l’une des accusé-es en détention préventive jusqu’à son procès le 25 novembre. Le second devait sortir grâce à un vice de procédure, les 20 heures maximales entre la fin de sa garde a vue et sa présentation devant le magistrat ayant été dépassées. Mais les flics en ont décidé autrement et l’ont emmené de nouveau en GAV au commissariat de Bagnolet, a priori pour violence.

Refuser de se soumettre à un contrôle d’identité, de donner ses empreintes, de répondre aux questions intrusives du juge, de se plier à l’enquête de personnalité, etc. sont autant de moyens pour tenter de mettre des bâtons dans les roues de la justice, de compliquer ne serait-ce qu’un peu le sale boulot des flics.

Le soir-même de cette nouvelle arrestation, un rassemblement est organisé devant le commissariat de Bagnolet, il semble attendu et est empêché à grands renforts de flics, la vingtaine de personnes présentes se fait contrôler, puis relâcher. Ce qui n’a pas empêché de montrer qu’il n’est pas seul face aux violences des flics et d’exprimer notre solidarité.

LIBERTÉ POUR TOUTES ET TOUS !

[Repris d’Indymedia Nantes.]

[Communiqué] : HORREUR DEVANT L’USAGE DE LA TERREUR !

Les tenants ou les aspirants au pouvoir et au fric n’hésitent jamais à faire usage de la violence et de la terreur, quand il s’agit de conquérir ou reconquérir leur pouvoir. C’est d’ailleurs à ça, entre autres, qu’on les reconnaît.

La terreur, c’est d’exécuter en pleine rue, des enfants, des femmes, des hommes civils qui n’ont rien à voir avec les combats de pouvoir.

Un ou deux suicidaires qui se font sauter au milieu d’un public ou encore un Etat qui jette une ou deux bombes (nucléaires) sur une ou deux villes entières, au prétexte de faire capituler le pouvoir d’un autre Etat, sont de la même trempe.

Leurs complices sont ceux qui fabriquent ces armes de destruction, bien souvent, en faisant de la plue-value, de la croissance, de la rentabilité, de l’augmentation de capital, du bénéfice par transactions financières.

C’est la course au pouvoir et au fric qui les motive, au mépris de la vie humaine.

Interco Landes, CNT-AIT

13 octobre 2015

Six personnes arrêtées à leur domicile pour l’arrachage de chemise du DRH d’Air France

Une semaine après que le Directeur des Ressources Humaines d’Air France se soit fait déchirer sa chemise par une foule de travailleurs en colère, 6 personnes ont été arrêtées à leur domicile ce matin. Les 5 premières ont été arrêtées le matin chez elles, elles sont toutes actuellement salariées chez Air France et membres du syndicat CGT. Une sixième personne a été arrêtée plus tard dans la journée dans le cadre de la même affaire. Les personnes arrêtées auraient été identifiées sur les nombreuses images photos et vidéos qui circulent sur internet et dans les médias, l’occasion de rappeler les risques que représentent les appareils photos dans les manifestations, et partout ailleurs.

 

Pour le plaisir :

Six personnes arrêtées à leur domicile pour l’arrachage de chemise du DRH d’Air France 6da0efa625959d1ef61c6e795016e0c4-1444051132-6299b10183853-air-france-un-tailleur-neerlandais-recupere-la-photo-du-drh-pour-vendre-ses-chemises-8a5cbxvme07f03d0-6b6f-11e5-8478-061d217e26f6-805x453-31673url-2-350e714432301-70073

Source: nonfides


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